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Quoi de neuf?

7 mai 2024

Le 7 est avant le 8 mais après le 6, et ça jusqu’à la nuit des temps. Boarf, peut-être qu’un jour, une réforme mettra à bas l’immuable? En attendant, l’art, au minimum 100 fois séculaire,  est en train d’en prendre plein la figure, c’est pas une première mais là ça sent le nauséabond. Il y a eu la Covid, il y a les JO, il y a  des élus que nous ne citerons pas, pour  ne pas qu’un  moteur de recherche nous balance, mais qui font des choses qui devraient marquer les livres d’histoire, il ya des annonces de 10 milliards de supprimés dans le secteur, il y a les attaques contre le régime de l’intermittence (qui vont monter en puissance,) Il y a, il y a, il y a… Ca ressemble aux introductions des contes. Et on sait que dans les contes se cachent les monstres tapis… Et encore, là, on ne parle que du secteur culturel, mais on voit bien dans quel état j’erre. On voit bien que tout le monde est à la grande peine, alors que l’argent de la 6 ou 7 eme puissance mondiale, la France, se balade bien quelque part…

Bref, années de plus en plus difficiles pour les artistes et l’art et la culture, qui sont pourtant, selon les dires de l’immense et feu Claude Régy  une des traces les plus importantes du passé  (voir ce qui nous reste des grottes, des peintures pariètales, mais aussi les architectures et tout ce qui perdure.) L’art est une mémoire des états de notre monde.

Donc, on a toujours besoin de nous, les artistes, et l’exception culturelle française, à y regarder de près, était une bonne chose. Il va falloir faire quelque chose.

Alors ici, il y a une volonté féroce, une volonté rhinocéros de continuer de trouver vaille que vaille les interstices qui ne sont pas encore bouchées. Planter nos mauvaises herbes qui seront le lierre tenace de nos arts en tout genre. On va mettre les bouchées triples et on trouvera bien où jouer pour ne pas fermer nos bouches, et ne pas immobiliser nos corps, ne pas emmurer vos esprits.

On a la GNIAAAAQUE, on ARRIIIIIIIVE!!!!

27 mars 2023                                                            

Printemps mon ami,

Printemps sec et chaud. Chaud comme la situation socialoécoloconomiquopolitiquo du pays, luttes en lutte contre les réformes sourdes, les extrêmes haines, les répressions uniformes et tout et tout et tout.

Le monde de la culture, comme un bateau, comme tout le monde, tangue, se débat, se rebiffe, les coupes sont claires.

Kikeï is toujours Kikeï, née dans un monde où la débrouille culturelle se fait monde.

Alors Kikeï continue d’écumer les espaces bizarres parce qu’elle les aime, et se rend chez celles et ceux qui ont le goût du courage, de faire venir ce qu’ils ne connaissent pas, ce qui se glisse, ce qui se rentre dans de tous petits espaces, loin de ce qui détourne la tête et regarde ailleurs.

Bon pour le dire plus simplement, les temps sont difficiles, la diffusion de spectacles est fastidieuse an l’an 2023! La compagnie Kikeï place ses spectacles dans les jardins, les bistrots, les petits festivals, mais en fait, au final on adore ça!!  On défend l’autrement quoi.

Alors, nous remettons en place pour la 4 ème année consécutive, la Grande Tournée des Jardins d’Eté avec Gestus et Mambo. Le calendrier est en cours de fabrication.

Alors Les Petits Poèmes de Derrière écume les petits bistrots avec sa version duo, aussi belle que sous les lumières.

Alors Discordes épluche les festivals faits par les gens fous qui essaient de faire vivre l’art qui se défend.

Troubles! aussi a quelques pistes, on vous tient au courant

A suivre et avec le sourire!!! A bientôt sur les agendas!

16 septembre 2022

Été mon amour,

L’été est passé et si il est politiquement incorrect de dire que j’ai aimé la canicule, je le dis et redis, j’ai aimé la canicule, même si j’ai tout à fait bien conscience de son défaut de fabrication, mais je n’ai enfin pas eu FROID cet été (ceux qui habitent en montagne savent).

Cet été, il s’est passé beaucoup de choses parce que ça sert à ça l’été, été mon amour:

D’abord Jean Luc Godard est mort et aussi William Klein et aussi des Ukrainiens, des Russes et aussi des gens dans la Méditerranée et aussi certainement des Ouïghours et bon, vous imaginez que je ne peux rendre hommage un par un aux morts de l’été, alors  je dirai simplement  seulement qu’avec Jean Luc Godard s’éteint un des fabricants d’une poésie forte (le visage face caméra d’Anna Karina  dans Vivre sa vie )  qui a empli mon enfance.

Cet été aussi la compagnie est allée à Aurillac qui reste mon endroit préféré! Un espace tellement décalé, un espace tellement effervescent et joyeux -je  mettrais moins la liberté de faire en avant que la non interdiction de tout- et je crois que c’ est ça qui rend les gens si heureux: l’impression soudaine de respirer, que ce temps et ce lieu qu’est le festival n’est pas assorti d’injonctions permanentes et oppressives à faire attention à tout, le droit au bruit, le droit à l’odeur, le droit à déborder, le droit de ne pas se garer dans les clous, le droit de ne pas être pris pour un porte feuille de festival, le droit de côtoyer les punksàchiens, les alcoolos et toute la smala. Dans quel autre endroit ne sont-ils pas immédiatement dégagés, ditesmoi?

Aurillac donc, avec 4 représentations de Gestus et 2 représentations de Troubles!  Pas beaucoup beaucoup de public mais de très bons retours! Et puis une sacrée équipe de jobards rigolos qui ont bien filé la patte. Merci à Benj pour la technique et merci à eux, notamment les distributeurs de flyers et les jeunes porteurs d’enceintes qui tels des grégarios les ont tenues à bout de bras, pieds aux pattes, lorsque celles ont se sont misérablement cassées (embases défectueuses, mmm, bonne qualité…)

Merci au photographe Dominique Villy pour ses photos de Gestus.

                     

 

 

Et de Troubles!  Vous pouvez visiter son site Oeil de Dom

 

 

La belle équipée sauvage:

 

 

 

 

L’été ça été aussi

La Grande Tournée Mondiale des Jardins d’Été, version 2022, toujours un régal. Des dates sur le département, le plateau, Grenoble et la Drôme. Soutenue cette foi-ci par toute une batterie de financeurs, (Comcom Matheysine, Département, FDVA, CAF et DRAC dans le cadre d’un Été Culturel ), ces sous-là nous ont permis de compléter toutes les dates au chapeau.

Dans ce cadre là, la compagnie a organisé 3 évènements, le festival De Plateau à Plateau dans un jardin de Prunières et les festivals Un Solo des soli au camping de Notre Dame de Vaux et au camping des Faures. 8 spectacles, 8 artistes  13 représentations, une 150 aine de public neuf ou moins neuf venus d’ici, de là ou de là, par là bas parfois…

Bref, jolie tournée, et quand on sait que le budget est là, ça rend plutôt serein.

Été mon amour

Pour finir, nous avons l’immense plaisir d’avoir joué quelques fois, les Petits Poèmes de Derrière qui de poèmes sont devenus récital mis en musique et devenus CD et devenus spectacle en train de se créer (prochaine résidence pur ce travail-là, la Faïencerie en février!). Quelques dates cet été mon amour (dont une très pluvieuse), en trio ou seule et l’on dit que tout cela est prometteur … (normal, ça parle de cul quand même). Alors, maintenant plancher pour trouver des dates afin que l’hiver soit doux, lumineux et bien rempli avant le prochain été des chaleurs chaleureuses …

Photo Marianne Gilliot

 

JUILLET 2022

N’OUBLIEZ PAS:  3  EVENEMENTS ARTISTIQUES AVEC PLUSIEURS SPECTACLES ORGANISES PAR LA COMPAGNIE: DE PLATEAU A PLATEAU,  ET LE FESTIVAL UN SOLO DES SOLI,.  TOUTES LES INFOS EN CLIQUANT SUR LES LIENS

 

19 juin 2022

Ça joue ça joue ça joue Aaaaargh après d’abstinentes abstinences, le plein-artifice.  A la lumière, c’est l’éclosion, le printemps des broussailles, des premières en pagailles, des reprises qui s’embrasent, une étincelle dans la paille.

On a joué Troubles! aux Monatgn’Arts et c’est une très belle première officielle,

qui malgré les apparences nous a mises debout pour la suite.

Et puis il y a la première des Petits Poèmes de Derrière au camping des  Faures, où  il s’est mis à pleuvoir sur le poème Petitounette, celui-ci même qui invoque et évoque l’ eau. Le public peu nombreux s’est précipité pour attraper tous les parasols possibles et les tenir au dessus des instrus pour nous laisser finir ce premier concert-récital, quel bonheur!

Et La Grande Tournée Mondiale des Jardins d’été qui reprend de plus belle avec cette année un chose improbable, un financement de la DRAC pour UN ÉTÉ CULTUREL, de la COM COM de Matheysine et de la CAF sur 3 évènements que la compagnie organise. Mazette mazette mazette, je ne vos pas bien quoi dire d’autre.

Toutes les infos et

20 avril 2022

Le contraste entre ce joli soleil d’avril et ce sombre entre deux tours…

Il y a du boulot, de la lutte à gogo, on fera les deux, on ira jouer, on oubliera pas de lever haut les poings, haut les cœurs.

L’été se prépare avec la troisième édition de La Grande Tournée Mondiale des Jardins d’Été, Mambo et Gestus ressortent, eux qui étaient plus ou moins  emplacardés aux jours froids de l’hiver.

Il y aura aussi Troubles! qui commence à déambuler à quelques endroits

et Les Petits Poèmes de Derrière qui sont encore à l’état de surprise, mais la coquille est en train de fendre. Ça va bientôt jouer…

N’oubliez pas de consulter l’agenda annonciateur, de renifler l’air printanier et d’aiguiser vos pavés.

 

16 janvier 2022

Sans doute qu’à l’automne 2021, la compagnie a du s’endormir quelques secondes sans y prendre garde.  Un bref somme  en somme.

Narcolepsie au Bois Dormant, fatiguée des désagréments, s’endort du manque de mouvements. Les situations à répercussion de l’été, qui ne vous seront pas contées dans le détail, ont semé un brouillard épais sur nos activités. Mais ce brouillard ne s’élève pas du sol. Trop volatil, il reste accroché à  l’air. Et nous, en dessous, sous la ligne de flottaison, avons trouvé tout juste un peu d’oxygène, pour respirer, pour  travailler, pour continuer de labourer ce sillon que notre char à bœufs creuse depuis plus de trois ans.  Au pays de Funambulie,  Madame l’endormie, Causette ou Kikeï, ne savons plus bien, a cherché et n’a pas perdu pieds.

 

2022 est né, en ce beau matin, et les projets ont réveillé La Belle Mam’zelle dans un grand coup de clairon.

Alors, Les P’tits Poèmes de Derrière sont sortis du champ, poèmes mis en musique.

Alors Troubles! repart en résidence, une fois deux fois, voire plus si affinité.

Alors Histoire de P’tite Graine qui avait été mis à l’arrêt forcé pour cause de maladie repart au turbin.

Alors La Tournée des Jardins 2022 cherche  (et trouve) activement des dates et des financements pour continuer de jouer Mambo et Gestus.

Alors des actions pédagogiques traînent dans les parages, et nous sommes à l’affut pour les attraper.

Bref, il y a des vents tournants, après les épuisements, c’est le temps des épuisettes,  le monde est plein de papillons et nous

                                                ON LES ATTRAPE!!!!

 

28 juillet

LA TÊTE à L’ENVERS et TIRAILLÉE DANS TOUS les SENS, les BATAILLES en PAGAILLES, LA RUE AUSSI est UNE BATAILLE mais QUEL BONHEUR!

                                            

 

Jolis mois de juin et juillet pour les tournées  qui nous ont emmenées en Normandie, dans le Lubéron, en Ardèche et par chez nous en Isère, où l’on a bien écumé les jardins mais aussi les lieux de petites programmations, ceux là même qui ne se sentent absolument pas de devenir les suppôts du pouvoir en demandant aux gens leur Pass pour les laisser entrer.

Et attention, je ne suis pas anti vaccins hein!

Mais la rentrée va être bouillante….

Dans le même temps, de nouveau, le festival d’Aurillac qui ne réunissait cette année que les compagnies et les programmateurs, pas de spectateur donc, a été annulé pour des raisons de sécurité publique…

La compagnie-quel orgueil!- devait s’y rendre et espérait bien décrocher quelques contrats pour la saison 21/22

La rentrée va être bouillante…

En tout cas, merci à tous qui continuez de nous inviter à jouer dans vos lieux. Cela crée des non- consensualités flagrantes, des espaces qui dérangent un temps, des temps qui remuent les espaces, et les regards amusés, amoureux ou effrayés des publics de qui nous sommes obligées de ne rien préjuger car ils ne sont pas vraiment ou pas toujours venus d’eux mêmes, la démarche restant différente.

Dans le même temps, Histoire de P’tite Graine a décroché quelques contrats

et surtout Troubles! a vu sa première date qui a vu Troubles! et de l’avis du public, c’est prometteur. Chouette, on espère que pour la création et le jeu aussi…

La rentrée sera bouillante!

Mais l’été n’est pas fini…

Un petit condensé de nos folies

 

21 juin 2021

 APRÈS LA COLÈRE DES  ENFERMEMENTS

RDV AVEC      LA MÉTAMORPHOSE… 

 

Depuis quelques semaines à peine, le boulot a repris. Ça tourne, ça tourne dans les jardins, les Poulaillers, les terrains vagues et vaguement vagues, les angles de terrain de foot, les placettes, les granges, devant les immeubles, les tribunaux, dans les églises en ruine, sur le bitume, le sable, le ciment, des vieux tréteaux en bois avec des échardes, dans l’herbe ou la moquette grise des espaces intimes

et j’en passe…

L’été est là, avec son chaud que j’aime tant et son show qui s’insinue dans les endroits,

Les insolites

où le théâtre n’irait sans doute pas, si on ne le tirait par le bord du jupon, timide, attendant qu’il se couche en nous

 

 

14 mars 2021

 

nOUVELLE    gRANDE    tOURNEE    mONDIALE    dES    jARDINS    d’eTE    eN    pERSPECTIVE

ET

                                                                                                                                                       LeS    LUTtES    nECESsAIRES

       

Grosso modo, ça fait maintenant à peu près un an que les arts sont empêchés de (se) débattre avec leurs publics dans les lieux qui leurs sont dédiés ou dans la rue. Un an qu’ils essaient de nous coudre la bouche d’une manière ou d’une autre.  Mais l’art est fait de politique, de poésie et de revendications, il trouve toujours une fente d’où couler pour se libérer, une issue à travers les dents, une bulle d’air à travers  les lèvres qui ne sont jamais closes très longtemps.

Alors on sort, on bouge, on manifeste, on occupe, on braille, on chante, on joue, on milite, on s’organise, on s’ensemble, on se collectif, on scrute, on écoute, on pense, on parle, on solidifie, on solidifaire, on frontal, on flûte, on lutte, on turlute….

Et cet été, de nouveau on système D.

C’est vrai que c’est du système D, ça pousse pas les pouvoirs publics à assumer complétement l’ interdiction de réouvertures des salles, l’annulation déjà des festivals estivaux, ça n’aide pas l’économie de la culture à se refaire, c’est de la débrouille, financièrement surtout c’est peu pour certains artistes qui courent à la précarisation galopante avec d’ailleurs toute une f'(r)ange (?) de la société.

mais

On a TRÈS envie de jouer,

On a BESOIN de jouer

On a ENVIE de se marrer

et on a adoré faire cette tournée l’été dernier, dans les jardins, chez vous, dans vos intimités., sur vos terrasses, dans vos champs, vos hangars, parmi vos voisins et vos amis.

Alors on remet ça, Coralie et moi même, on est prêtes et partantes, à partir du mois de mai si le temps le permet, si on ne  reconfine pas. On viendrait jouer dans vos p’tits jardins d’amour.

Et cette fois-ci, on est partantes pour aller au bout du monde, si il y a plusieurs dates au même endroit.

VOiR le nOUVEAU  dOSSIER iCI , avec toutes les ‘splications

 

Ils ont voulu assassiner l’art et la culture mais la mauvaise herbe repousse

La broussaille reprendra toujours ses droits.

Or, nous sommes la broussaille,

par nos 1000 directions,

nos 1000 façons de raconter le monde,

par les fruits qui mûrissent sur nos branches

notre ténacité en forme de ronces,

notre irrévérence qui s’accroche à vos esprits.

Nos rasez pas trop l’herbe de vos jardins, laissez-y pousser l’inattendu,

Nous arrivons et sommes ravies de jouer pour vous.

          

 

25 janvier 2021

DES RESIDaNCES DeNSES DaNSE !!

Il ne s’est pas passé grand chose depuis la fin de la jolie tournée des jardins début octobre, mais il ne s’est pas rien passé. L’hiver et la torpeur de ce deuxième confinement, de cet état larvé, de cette hibernation forcée, de cette entrave au travail nous aura obligé à mettre en route les chantiers plus ennuyants mais nécessaires pour qui tient sa structure d’une main de fer (moite): Recherche de partenaires financiers, quelques sous quoi, travaux administratifs, entretien du site… Et et et … à force de potasser, et avec l’aide de quelques précieux personnages, des choses intéressantes, constructives, qui amènent de la solidité et de la visibilté se mettent progressivement en place.

Ne me faites pas dire que la situation et le blocage gigantesque de la société aura servi à quelque chose, hein, c’est juste, qu’en attendant, on a continué de  chercher pour pas mourir .. .d’ennui.

Et bien du coup, sorties du chapeau et des belles volontés d’autres personnages, deux résidences de soutien ont eu lieu! L’une au Pot au Noir à Monestier de Clermont en novembre 2020 et l’autre à l’Espace Culturel Paul Jargot à Crolles en février 2021.

Elles ont pour but de travailler une adaptation de Gestus pour la salle, avec une jolie création lumière, afin que le solo puisse jouer les hivers au chaud dedans, et les étés, au chaud, dehors.

C’est chouette et merci à ces soutiens.

Il y a aussi d’autres projets en cours et bientôt apparaîtront de nouveaux onglets sur le site. Un peu de patience, tout ça prend du temps, ça tombe bien, on en a plein…

En tout cas, cette année, c’est l’année du buffle paraît-il, une année de labeur en profondeur et de lumière, vive la culture!

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Entre le 24 mai et le 25 janvier, il y a eu cet été, la belle tournée des jardins, avec les solos Gestus et Mambo et quelques dates avec Histoire de P’tite Graine, n’hésitez pas à consulter les liens dans les pages agendas.

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24 mai 2020

Drôle, oui vraiment drôle de moment…

Cet arrêt brutal et terrifiant, cet instant long de 55 jours et de sa traîne qui n’en finit pas… Cette traîne qui n’appartient assurément pas à la robe d’une princesse.

Lui que nous avons appelé ConfinementConfinement 1 er même, un trou spatio-temporel, un vide à ne pas remplir, une presque impossibilité de créer, mais une réelle colère politique et une attente patiente (ou pas) et froide en starting block :

Maintenant, on est dehors, et comme les théâtres restent fermés, que les festivals  et évènements de l’été (la compagnie devait filer à Aurillac cette année)  se sont totalement évaporés, on va faire comme tout le monde, on va trouver autre chose!

Comme la mauvaise herbe, on repousse sans cesse. Alors on a choisi de repousser dans vos jardins.

Sur une proposition de Coralie Weigerding, une chouette fille et clown qui habite dans le coin, nous sommes en train de préparer…une TOURNÉE DANS LES JARDINS D’ÉTÉ!  Certes, certes, on n’est plus dans l’occupation des espaces publics, on jouera chez les particuliers mais au moins, on jouera !! D’ailleurs c’est comme ça que tout  a commencé pour la compagnie, gardons notre humilité.

Toutes les infos sont dans les 2 PJ suivantes:

Dans Vivant, il y a vivant!!

Explications et fiche technique